Stage de seconde : comment aider votre ado à trouver une entreprise d’ici juin

Rédigé le 07/05/2025

Tous les élèves de seconde devront effectuer un stage d’observation du 17 au 28 juin 2024, partout en France…et c’est à eux de trouver leur structure d’accueil !

C’est une première cette année : les lycéens de seconde générale et technologique devront réaliser un stage de deux semaines en entreprise, entre le 17 et le 28 juin. Une expérience pensée pour les aider à mieux comprendre le monde professionnel… mais qui peut vite devenir un casse-tête pour les familles. Voici nos quelques conseils simples pour les accompagner dans leurs recherches.

1. Le réseau, un bon point de départ

Avant de se lancer dans des recherches à l’aveugle, pensez au cercle proche. Un parent, un voisin, une connaissance : le bouche-à-oreille reste l’un des moyens les plus efficaces pour décrocher un stage. Pas besoin que ce soit dans le domaine de prédilection de l’élève, l’essentiel est de découvrir un environnement professionnel.

2. Les collectivités et structures locales peuvent aider

Mairies, missions locales, chambres de commerce… Ces organismes sont souvent en lien avec les entreprises du territoire et peuvent orienter les familles ou les jeunes vers des structures prêtes à accueillir des stagiaires. N’hésitez pas à les contacter.

3. Des plateformes en ligne dédiées

Le site officiel 1eleve1stage.education.gouv.fr recense déjà des milliers d’offres de stage, accessibles par zone géographique. Rien qu’en Nord-Isère, on en compte actuellement plus de 2 000.

4. Aider sans faire à leur place

Pour les élèves peu à l’aise avec les démarches, un petit coup de pouce peut faire la différence : relire un mail, structurer une lettre de motivation, préparer un appel. Sans tout faire à leur place, c’est aussi une manière de les responsabiliser… tout en maximisant leurs chances.

5. Une obligation à ne pas prendre à la légère

Ce stage est obligatoire, même s’il n’est pas noté. Il pourra même servir de base de réflexion pour le Grand oral en terminale. Autant dire qu’il vaut mieux le prendre au sérieux et le préparer dès maintenant.

Par Hugo Souplet